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Dimanche 7 mai 7 07 /05 /Mai 12:52

Qu'est-ce qui amène un couple à s'adjoindre d'autres partenaires sexuels ?

 

 

Pourquoi la sexualité de groupe reste-t-elle une pratique exceptionnelle ?

Ce dossier explore les mécanismes du couple, les aléas de son évolution et la périlleuse ascension vers les sommets de l'érotisme des partenaires qui s'y risquent et propose des conseils pour ceux qui souhaitent tenter l'aventure..

 

Si on a pu parler d'une certaine libération de la sexualité, la sexualité de groupe reste un tabou auquel s'attache la notion de débauche, voire de «maladie mentale». Ces à priori ne sont pas dépourvus de vérité et il est vrai que nous nous trouvons là aux limites incertaines de l'érotisme et de la pathologie. La sexualité de groupe est une auberge espagnole où chacun vient chercher la satisfaction des pulsions qu'il y amène et celles-ci peuvent être de tous ordres. Dans certains cas, elle sera un jeu de plus dans l'évolution du potentiel érotique. Dans d'autres cas, elle sera la triste manifestation de perversions qui enferme l'individu dans des pratiques compulsives au cours desquelles l'absence totale de sentiments génère rapidement l'absence de gratification. La sexualité de groupe qui n'était pratiquée jusqu'à ces dernières années que par un petit nombre d'initiés, tend à se démocratiser bien qu'elle ne concerne encore qu'un très faible pourcentage de nos contemporains. Mais si la démocratie accepte mal l'élitisme, je ne suis pas sûr que les jeux érotiques de l'échangisme soient accessibles à tout un chacun sans danger.

 

LE CHOIX DE QUEL PARTENAIRE ?

 

Pour comprendre le faible nombre d'individus concernés par la sexualité de groupe, il importe de se souvenir de la façon dont se choisissent les partenaires et ce choix dépend de leurs intentions.

Lorsque la relation n'a pour but que la sexualité, les partenaires se choisissent en fonction des signaux érotiques qu'ils émettent. L'objectif est de réaliser ses fantasmes et c'est l'apparente capacité de l'autre à être le support permettant cette réalisation qui le fait choisir : le partenaire est excitant.Lorsque la relation a pour ambition d'être durable et peut conduire à une vie en commun, c'est tout le contraire qui se produit. D'une façon inconsciente, les partenaires vont se choisir en fonction de la capacité perçue chez l'autre d'être un «garde-fou» contre les pulsions fantasmatiques le partenaire est équilibrant. Mais ce qui paraît simple à l'analyse l'est moins dans la vie. La recherche, à tout âge, de l'être idéal qui comblerait tous les souhaits de complémentarité intellectuelle (ou pratique), affective et sexuelle, nous fait prendre «des vessies pour des lanternes». Au prix de dénis de réalité perçus par tous, sauf pour l'amoureuse et l'amoureux aveuglés, s'instaure un couple qui aura du mal à survivre lorsque le temps se sera chargé d'effeuiller une à une les illusions. Il faut avoir vécu, s'être «cassé la gueule» souvent plusieurs fois et en avoir tiré les leçons, pour comprendre que la recherche de la complémentarité qui comblerait nos manques, est vaine et dangereuse. Il faut avoir suffisamment souffert de cette quête éperdue pour accepter l'idée que dans la vie, l'être humain est seul avec ses failles et qu'il ne peut compter sur personne, sauf sur lui-même, pour en adoucir les brûlures. C'est seulement à ce moment que l'être est libre et mature pour choisir son ou sa partenaire selon des critères qui respectent l'autre. Faute d'avoir compris et accepté sa solitude, la sexualité compulsive (à répétition et qui n'apporte pas l'apaisement) représente un comportement névrotique qui cherche, sans y parvenir, à combler le vide. La sexualité de groupe «démocratisée» en est souvent une manifestation. De multiples obstacles vont s'opposer à la maturation sexuelle des individus qui peuvent la retarder ou la faire tourner court.

 

 

PÉCHÉ DE JEUNESSE

 

Le premier obstacle est un «péché de jeunesse». Les premières relations sexuelles répondent à des besoins physiologiques et à une curiosité dans lesquelles les fantasmes sont des fantasmes d'adolescents. A l'extrême, ils sont purement sexuels (voire pornographiques) pour le garçon ; ils sont immergés dans une scénographie romantique pour les filles. Cette «boulimie perverse» est incompatible avec l'érotisme.

Rappelons que certains sujets (beaucoup plus nombreux qu'on l'imagine) restent, dans ce domaine, des adolescents toute leur vie. Ils sont piégés dans une sexualité immature qu'ils ont pris pour de l'amour. S'ils décident d'unir leurs vies, leur union sera marquée par des modèles sexuels qui ne résistent pas au temps. Pour lui, la vulve, et éventuellement les seins de sa compagne, qui l'attiraient, comme un papillon de nuit est attiré par la lumière, ont perdu leur fascinant mystère alors que le reste du corps n'a jamais présenté aucun intérêt. Pour elle, le prince charmant potentiel est devenu (en fait, il est resté)l'homme maladroit et inattentif. Elle est maintenant demandeuse de davantage de caresses, il est demandeur de plus de cul. S'il ose (et encore, osera-t-il ?), il lui proposera de regarder avec lui des films pornographiques, espérant ainsi redonner de la vie au sexe de sa femme désormais inscrit aux abonnés absents. Ceci, bien entendu, ne fait que les éloigner davantage car rien dans la nature de la pauvre femme, ne peut lui permettre de se reconnaître (et pour cause !) dans les débordements des protagonistes mis en scène. Lui puisera à cette source d'images les scénarios qu'il se rejouera pendant que sa femme se pliera au devoir conjugal. La pauvreté de l'imaginaire de ces couples et le carcan qui inhibe leur sexualité ne permet pas l'accès à l'érotisme et à la recherche des plaisirs raffinés qu'il engendre. Tout au plus, elle se remettra à rêver et à attendre en secret l'homme idéal tapi dans ses fantasmes. Mais s'il vient à passer, prendra-t-elle le risque de le reconnaître et de briser ce qui existe ? Lui vivra des fantasmes de partouzes dans lesquels s'exprime la violence mais le passage à l'acte éventuel se fera sur le mode du viol, un soir de bordée avec les copains. Il n'est absolument pas armé pour les finesses de «la débauche». 

 

LE "RAS-LE-BOL" DE LA SOLITUDE

 

Ceux qui ont franchi le cap de la sexualité adolescente, ont pu commencer à élaborer un vocabulaire érotique selon leur plus ou moins grand appétit sexuel, leur plus ou moins grande liberté, le nombre et la qualité de leurs rencontres. Mais ce passage de là où ils en sont de leur vie, se fait soit en tant que célibataire, soit selon des expériences de couple instable alternant lunes de miel et ruptures plus ou moins douloureuses, à un rythme de plus en plus accéléré. Un jour ou l'autre, pour l'immense majorité d'entre eux, le besoin de sentiments durables les amène à changer de vie. Ils se «rangent». Pour changer leur vie et l'orienter vers une vie de couple durable, le compagnon ou la compagne doit présenter des qualités de sentiments et de sécurisation non-compatibles (au moins le croient-ils) avec une sexualité débridée puisque celle-ci ne leur a jamais permis jusqu'alors de vivre l'existence à laquelle ils aspirent maintenant. Pourtant, les potentialités érotiques qu'ils ont acquises, ne pourront se satisfaire longtemps d'une sexualité rendue plus sage par leur besoin de sécurité. Si, sur le plan de l'érotisme, le décalage avec le nouveau partenaire est trop important, la sexualité restera pauvre et le couple est en péril. Mais si l'un est riche et si l'autre ne demande qu'à le devenir, tout ira bien.

 

LA RELANCE DU PLAISIR

 

 

La communication érotique n'échappe pas aux lois générales de la communication.

Sans apports extérieurs, il faut beaucoup d'enthousiasme, beaucoup d'imagination de la part des deux protagonistes, pour que se maintienne durablement un haut niveau d'échanges dans la vie sexuelle d'un couple. Le rôle des fantasmes est ici prépondérant : ils permettent d'élaborer ensemble des scénarios que l'on peut se jouer et se rejouer. Mais ces jeux, comme le reste, ne supportent pas l'épreuve du temps. Pour continuer d'exister,l'érotisme doit s'alimenter de stimulations sensorielles qui vont enrichir les fantasmes lorsqu'ils ne suffisent plus.

 

L'ÉCHANGISME OU QUAND LE COUPLE PREND DES AMANTS

 

Les partenaires sont à la recherche d'une solution pour mettre fin à la routine sexuelle.

L'absence de mésentente conjugale fait rejeter la solution des relations extra-conjugales pouvant mettre en danger le couple. C'est généralement le moment où, pour la première fois, est évoquée(presque toujours par l'homme et souvent timidement) l'éventualité de pratiquer l'échangisme. Cette demande pose le problème du lien entre les deux membres du couple. L'évocation d'autres partenaires laisse planer la peur de perdre l'autre,l'éventualité qu'un nouvel arrivant séduise la compagne ou le compagnon en étant un meilleur amant à un moment où la sexualité du couple n'est plus à son apogée.

Cette crainte, qui n'est jamais absente dans la pratique de la sexualité de groupe, va exiger que des règles strictes soient mises en place et respectées au sein du couple comme au sein du groupe. Si ces règles existent dans les clubs échangistes et sont généralement de mise dans la pratique intime du swing (deux couples), elles sont beaucoup plus aléatoires dans le triolisme. Dans un premier temps, la demande enrichit les fantasmes du demandeur, qui «s'y voit déjà» et, éventuellement, de l'autre partenaire, s'il accueille favorablement la proposition. Le plus souvent pourtant, la femme, dans un premier temps, l'accepte mal. Elle y voit des pulsions infidèles de son mari, ou ne comprend pas que son compagnon puisse envisager de la laisser faire l'amour avec un autre homme. Les discussions se poursuivant, la proposition mûrit et les résistances s'estompent. La première fois sera le plus souvent une question de circonstances. 

 

La pratique de sexualité de groupe, si elle stimule le couple, peut très bien ne le stimuler que dans la situation d'échange sans que les rapports au quotidien en bénéficient.

 

La vigueur de l'homme ou l'appétit de la femme qui ne se révèlent pas dans les rapports du couple, sont sources de jalousie. D'autant plus que, malgré les règles du jeu, l'absence de sentiments est difficile à affirmer.

 

Enfin, même dans les clubs échangistes, le nombre des partenaires est limité. Ici aussi peut s'installer une certaine routine, jusqu'à ce qu'un nouveau couple, perçu comme de la chair fraîche, se présente et fasse l'objet des convoitises d'une grande partie des anciens au détriment des relations habituelles. Là aussi, il peut y avoir des jalousies. Mais ce qui caractérise le triolisme et, à plus forte raison l'échangisme, c'est que ces pratiques laissent émerger des pulsions perverses. Au-delà des préliminaires, lorsque les ébats ont commencé et que les étreintes se succèdent, la situation va prendre un sens pour chacun des membres du couple.

 

Si la recherche du plaisir sexuel est la quête qu'ils faisaient en venant dans ces lieux, leur vraie jouissance sera la coïncidence du vécu de l'ensemble des stimulations sensorielles et sexuelles avec ce qui va surgir du plus profond d'eux-mêmes à ce moment précis. S'ils en jouissent, ils reviendront avec le sentiment qu'ils ont enfin trouvé un lieu de liberté pour laisser s'exprimer ce qu'ils sont. Si cela les effraie, ils ne reviendront plus et ressortiront de cette expérience, effondrés, avec le sentiment d'avoir piétiné ce qu'il y avait de plus riche entre eux : cet amour qui les unissait pour éviter justement les débordements de ce type. C'est l'un des dangers. Mais il y en a un autre. Analyser tout ce qui peut pousser, inconsciemment, les êtres à pratiquer l'échangisme est impossible. Aux plaisirs du voyeurisme et de l'exhibitionnisme, pulsions pratiquement indispensables pour vivre des ébats au vu et au su de tous les participants, peuvent s'ajouter des pulsions sadiques : le mépris de l'homme envers sa femme acceptant d'être prise par un autre ou qu'il avilit en la faisant prendre par un autre. Des pulsions masochistes : la douleur de voir sa femme prise par un autre. Douleur qui se changera en plaisir lorsqu'il pourra l'avoir de nouveau à lui. Des pulsions d'homosexualité etc., etc... Et ce qui est vrai pour l'homme est également vrai pour la femme.

 

L'autre danger pour le couple et pour l'individu est que, à bas bruit, la répétition de l'échangisme ou violemment la révélation brutale de la pulsion au moment de la jouissance, entraîne un glissement du plaisir hors du champ prévu des ébats. Désormais, ce qui procure le plaisir c'est le sens que prend l'acte et non l'acte lui-même. Désormais, c'est le besoin de vivre ces pulsions pour elles-mêmes, solitaire et enfermé dans un «toujours plus d'avilissement», un «toujours plus de douleur». Et ces pulsions, extraites d'un contexte de jeu, peuvent se vivre ailleurs. L'individu peut alors devenir dangereux pour lui même et/ou pour la société.

 

Chaque nouveau grade acquis l'a été au risque de se perdre.

En ce sens, ces jeux-là sont des jeux graves qui ne supportent pas la médiocrité et malheur à ceux qui s'y frottent à la légère. On comprend pourquoi la sexualité de groupe ne peut être l'affaire que d'une minorité. Pour qu'elle ait un sens, elle ne peut concerner que des êtres que l'expérience a libérés d'une morale étriquée et qui prennent le risque de vivre leur existence (et pas seulement leur sexualité) hors du balisage que la société impose au plus grand nombre. C'est pour cela qu'ils sont inquiétants...

 

LE TRIOLISME

 

Le triolisme représente la demande sexuelle la plus importante. Le couple a le sentiment qu'il maîtrisera mieux ce qui peut arriver du fait de la venue d'un seul nouveau partenaire. Que le troisième personnage soit un homme ou une femme, dépend des fantasmes du demandeur et, éventuellement, de ce qu'il perçoit du désir de l'autre. Jusqu'à il y a une dizaine d'années, lorsque c'était l'homme qui prenait l'initiative (et c'est, on l'a vu, le plus fréquent), il choisissait presque toujours une femme. Il voyait là un double avantage : satisfaire ses pulsions de polygamie et de voyeurisme tout en offrant à sa compagne la possibilité de vivre d'autres stimulations avec une partenaire qui ne lui semblait pas représenter de danger pour lui.

Il est curieux de constater que le fantasme de lesbianisme, orchestré par un amant pouvant jouir des deux partenaires existe chez presque tous les hommes. Leurs à priori leur donnent la certitude que, dans toute femme, il y a une lesbienne qui s'ignore ou qu'elle n'attend que son autorisation pour passer à l'acte. Cette confusion entre homosexualité latente et lesbianisme peut conduire à des situations fâcheuses.

 

La moins grave est que la partenaire légitime, bien que pleine de bonne volonté, ne trouve aucun intérêt dans les caresses d'une autre femme. Elle sera juste témoin d'un coït entre son mari et une autre. La frustration et le sentiment d'avoir été dupée passés, le couple retrouvera sa vie normale et, peut-être fera-t-il d'autres tentatives dans la pratique du swing... 

La plus lourde des conséquences est que la partenaire légitime vive une révélation dans le rapport lesbien avec la femme invitée.

Dans ce cas, le rapport est tellement fort que l'homme n'a qu'une chose à faire : laisser les femmes entre elles sans tenter de s'immiscer dans ce qui se joue sous ses yeux. Il n'est pas de taille et n'a rien de mieux à offrir. S'il peut toujours profiter du coup d'œil, c'est en se masturbant qu'il terminera la soirée.

Lorsque l'homme choisit pour partenaire du couple un autre homme, ce choix peut signifier un désir de vivre une expérience homosexuelle et correspond à une pulsion jusqu'ici refoulée. A moins que cela corresponde à un peu probable élan de générosité. Quelles qu'en soient les raisons, ce choix cache des pulsions perverses que l'on va retrouver présentes (c'est l'intérêt mais aussi le danger) dans toutes les pratiques de la sexualité de groupe. Et ce qui est vrai pour l'homme, l'est aussi pour la femme. Dans l'immense majorité des cas, la pratique du triolisme laisse «sur sa faim» l'un des deux partenaires et conduit le couple vers les échanges plus larges que propose le swing. 

 

 

LE PHENOMENE DU "SWING"

 

Née dans les années 70 aux États-Unis, la pratique occasionnelle ou régulière du swing s'est répandue en Europe. Au niveau le plus simple, le swing est la pratique sexuelle de deux couples qui se sont choisis pour échanger leurs partenaires et laisser s'exprimer éventuellement toutes les composantes possibles de la sexualité.

Il représente la seule forme réelle de l'échangisme pour le couple et se veut uniquement une pratique sexuelle.

Les sentiments n'ont pas leur place. Dans sa forme à quatre partenaires, ceci implique un renouvellement constant des protagonistes et une discrétion qui complique le recrutement. Très rapidement, c'est dans les clubs spécialisés, plus ou moins discrets, que vont se vivre les échanges. L'échangisme brise la routine du couple, non pas seulement parce qu'il y a échange de partenaires, mais parce qu'il bouscule toute la vie du couple.

Les efforts pour séduire se retrouvent dans la vie de tous les jours. La multiplicité des partenaires masculins peut amener une femme n'ayant jamais connu d'orgasme à devenir multi-orgasmique. La multiplicité des partenaires féminines redonne à l'homme une vigueur qu'il avait perdue. Le couple peut en récupérer les bénéfices.

 

 

Par Gwenlacoquinette et Doudoucoquin - Publié dans : Pratiques (SM, Echangisme,Bondage...)
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Samedi 6 mai 6 06 /05 /Mai 16:54

La branlette espagnole, dite cravate de notaire, est une technique qui consiste à prendre la verge de votre partenaire entre vos seins pour simuler une pénétration.

C'est une technique qui procure un plaisir immense si elle est pratiquée comme il faut.

 

Pour Cela, voici plusieurs règles: Il vous est impératif d'avoir une poitrine suffisamment opulente pour y caler une verge.  

La verge et la poitrine doivent être lubrifiées pour éviter les brûlures. 

 

Les deux seins sont serrés l'un contre l'autre, emprisonnant la verge. 

 

Faites en sorte que le gland de votre partenaire aboutisse dans votre bouche, par périodes (attention aux dents, la verge ne doit pas les cogner). 

 

Vous pouvez également vous caresser les seins, le sexe. Surtout, pincez la pointe de vos seins, cela excitera votre partenaire au moins autant que vous... 

 

Les femmes ayant une poitrine assez grosse peuvent tout simplement exécuter elles-mêmes les mouvements de va et vient, de plus en plus rapidement. 

Par Gwenlacoquinette et Doudoucoquin - Publié dans : Stimuler sa vie sexuelle (conseils)
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Mercredi 3 mai 3 03 /05 /Mai 20:07

 

Si vous êtes excité(e) par les toisons fournies, passez votre chemin ;-)

L'épilation des poils pubiens de la femme est un fantasme masculin assez répandu. Le nombre de femmes qui s'épile est de plus en plus grand et les hommes s'y mettent aussi. Les acteurs de films pornos colportent cette mode d'autant plus facilement que les tabous tombent de plus en plus. En dehors de ce fantasme, nombreux s'épilent par hygiène, confort, sensualité ou par coquetterie.

 

Résultat de l’évolution humaine, les poils pubiens permettent de retenir les odeurs sexuelles et d’ainsi subtilement attirer un partenaire. Malgré cette utilité, de plus en plus de femmes pratiquent l’épilation du pubis, tandis que les hommes s’y mettent aussi depuis peu.

Alors que dans certains couples (dans certaines civilisations) l'homme demande à la femme de s'épiler pour signifier sa soumission, de nombreux couples aujourd'hui font ce choix uniquement par plaisir esthétique ou sensuel et beaucoup de femmes en prennent l'initiative seule.

Il est vrai qu’esthétiquement, un sexe dépourvu de poils est considéré comme plus attirant par de nombreuses personnes. Sa douceur étant également très excitante, en particulier pour les amateurs de sexe oral : il est bien plus agréable de lécher une zone douce et accueillante qu'une zone poilue et repoussante. Plus d'inquiétude quant aux poils qui pourraient se retrouver dans notre bouche et nous faire cesser notre activité le temps de l'enlever! De plus, le fait de sentir une langue sur une zone de son corps fraîchement épilée est très agréable…

Ce dossier s'adresse aussi bien aux hommes qu'aux femmes, même si certaines parties s'adressent plus précisément à elles.

 

Questionnaire : 

 

Pratiquez-vous de l’épilation intime ?

Non (je suis une femme)

Parfois (je suis une femme)

Régulièrement (je suis une femme)

Non (je suis un homme)

Parfois (je suis un homme)

Régulièrement (je suis un homme) 

 

Qui s'épile dans votre couple ?

Elle uniquement Lui uniquement Tous les deux Aucun 

 

Vous préférez :

Les sexes poilus

Les sexes entièrement épilés

Juste un triangle sur le pubis

Juste une fine bande de poils 

 

Quelle technique utilisez-vous ?

La cire chez moi

La cire en institut

La crème

Le rasoir

La pince

L'épilateur électrique

Le laser (en institut)

Je ne m'épile pas 

 

 

Résultats en commentaire ;)

 

 

Face aux réticences 

 

Est-il attiré par les fillettes ?

L'épilation intégrale plait à beaucoup d'hommes mais peut faire peur à la femme.

Madame, s'il vous demande de vous épiler entièrement, ça ne veut pas dire pour autant qu'il est pédophile ! La pédophilie n'a rien à voir là-dedans. Une femme avec des formes de femme (seins et hanches) restera une femme avec ou sans poils. Par contre, elle appauvrit le poil, révèle les cicatrices éventuelles et n'est pas toujours flatteuse, surtout lorsque la peau vieillit. Les poils peuvent alors "décorer" avantageusement. Essayez d'abord une épilation partielle avant de passer à l'intégrale pour vous habituer peu à peu.

 

Que va penser mon médecin ? 

 

C'est délicat la première fois qu'on doit présenter son sexe épilé à son médecin ou son gynéco, de peur de passer pour une prostituée. Coquine a vu une expression de surprise la première fois sur le visage de sa gynéco, mais ça s'est arrêté là. Pensez d'une part que vous ne devez pas être le (la) premier(e) et que de plus, votre médecin a une obligation de discrétion et de secret médical. Il n'est pas là pour vous juger. Et s’il n'est pas assez intelligent pour rester à sa place, un conseil : changez-en !

 

Où trouver un institut acceptant de rendre ce service ? 

 

Nous ne sommes jamais allés dans un institut pour se faire épiler préférant le faire nous même. Mais d'après ce que nous avons pu lire ça et là, il semble assez difficile de poser la question à son esthéticienne. Dans le meilleur des cas on vous répondra gentiment que la maison ne fait pas ça, mais vous pouvez vous exposer à un refus outré et froid. Les messieurs ont apparemment encore plus de mal à se faire accepter mais face à cette mode, il y aurait de plus en plus d'instituts proposant ce service.

 

Elle ne veut pas que je la regarde s'épiler 

 

Les hommes fantasment sur les séances de rasage intime. Des couples l'intègrent dans leurs jeux sexuels en s'observant ou en s'épilant mutuellement. Il faut pour cela être très exhibitionniste ou très à l'aise avec son corps.

Dans la réalité, les séances d'épilation ne sont pas très sexy : recroquevillés sur nous même, les jambes écartées, on n'est pas très à notre avantage ! Rajoutez à cela de la crème ou de la cire étalée sur nos parties intime et le tableau n'a rien de très érotique...

La confiance doit être totale, surtout si vous laissez faire le travail à votre partenaire.

S’il (elle) refuse de partager ce moment avec vous, n'insistez pas : comme son nom l'indique, c'est un moment intime et dans le couple, il faut savoir respecter l'intimité et les réserves de l'autre.

 

J'ai peur de passer pour un homosexuel 

 

La pratique de l'épilation masculine est en effet très répandue dans la communauté gay. Mais c'est simplement parce qu’un sexe d'homme rasé est plus agréable à contempler et à caresser. Ce que vous appréciez chez la femme, elle l'apprécie aussi sur vous. Elle prendra plus de plaisir à vous prodiguer une bonne fellation si elle n'a pas le nez chatouillé par une touffe de poils ou si elle ne se retrouve pas avec des poils coincés entre les dents !! Elle jouera aussi plus facilement avec vos testicules. Et vous resterez très viril à ses yeux.

Vous n'avez pas besoin de tout raser. Gardez votre triangle de poils au-dessus de la verge.

 

Ca doit gratter quand ça repousse 

 

C'est l'inconvénient majeur. Il ne faut pas négliger de bien préparer la peau avant et après : lotions désinfectantes, crèmes hydratantes, gommage avant et n'oubliez pas d'utiliser des ustensiles propres et désinfectés (rasoir neuf si possible)

Et puis si vous prenez la décision de vous épiler, il vaut mieux prendre la résolution de le faire régulièrement et entretenir sans attendre que ça repousse. C'est le meilleur moyen d'éviter ces désagréments. C'est une corvée supplémentaire, mais quel plaisir par la suite ! 

 

Je n'ose ni utiliser le matériel de ma copine ni acheter moi-même le matériel nécessaire ! 

 

N'hésitez pas à acheter vous même les accessoires nécessaires : vous passerez aux yeux de la caissière pour un homme galant qui n'hésite pas à aller au supermarché acheter les produits de beauté pour sa dulcinée ! Et puis beaucoup de sportifs s'épilent aujourd'hui.

 

Quelle coupe choisir ? 

 

L'épilation peut être intégrale ou partielle. Dans l'option "intégrale", on retire tous les poils du haut du pubis jusqu'à l'anus. Pour une épilation partielle, la plus répandue est l'épilation du maillot pour laquelle on ne retire que les poils qui débordent de la culotte, mais on peut choisir de ne laisser que des poils sur le devant et retirer tout le reste.

Ensuite, c'est une question de choix personnel. Comme pour les cheveux, toutes les coupes ne vont pas à tout le monde. Avant de choisir, regardez bien sur des photos quelle coupe vous plait le plus et commencez petit à petit.

Par contre, n'oubliez jamais d'épiler jusqu'à l'anus ! 

 

L'épilation intégrale fait ressembler votre sexe à celui d'un(e) jeune fille (jeune homme) pré-pubère. 

 

A l’Américaine, comme l'épilation "ticket de métro": une bande étroite, des côtés nets, rien ne dépasse. Fonctionnel avant tout.  

Mais on peut joindre l'agréable à l'utile et se faire dessiner ainsi courbes, carrés ou autres figures. 

 

La brésilienne (ou le maillot brésilien) est une épilation assez échancrée, qui ne conserve qu'une mince bande de poils et un petit triangle devant. Parfaite pour les strings, elle peut se compléter d'une épilation du bas du dos si nécessaire.  

Un autre motif terriblement féminin est un petit coeur, succès garanti mais assez difficile à faire seule. 

 

Vous pouvez aussi couper les poils restant de quelques millimètres pour "égaliser" ou donner un aspect tonique, surtout si vous désirez dessiner des motifs : ils ne se verront pas dans la broussaille ! 

 

Pour les hommes

 

vous pouvez commencer par tailler les poils du pubis avec un ciseau en laissant 1 à 2 cm de poils.  

Les testicules : Attention, danger ! Il s'agit ici d'être extrêmement prudent avec le rasoir. En effet, la peau qui recouvre les bourses est fine et plissée. Toutefois, rassurez-vous, à moins d'être un peu neuneu sur les bords, vous ne vous blesserez pas. Vous verrez que, finalement, c'est beaucoup plus facile que de se raser la barbe...

Rasez vos testicules soigneusement en n'omettant pas de passer sur les côtés, entre les bourses et le haut des cuisses. 

 

Le reste du corps 

 

Si les femmes sont habituées à sacrifier du temps à s'épiler les jambes, les aisselles et le maillot, les hommes s'arrêtent au rasage du visage (sauf le dimanche pour certains) et parfois au rasage intime.

Pourtant, les femmes apprécient aussi de caresser une peau douce sans forcément être homosexuelles. C'est sûr que des poils sur le torse (pas la moquette non-plus) et sur le pubis sont assez craquants (Coquine adore), mais rien n'empêche un homme de s'épiler d'autres parties du corps.

J'imagine les hommes sourire en se disant que ça fait homosexuel, mais n'oubliez pas que de nombreux sportifs le font. Et pas seulement les cyclistes ! Les rugbymen et footballeurs professionnels s'épilent régulièrement les jambes... ce ne sont pas les sports les moins virils !

Si vous avez plutôt une forte pilosité, soit il vous faudra faire une épilation intégrale, soit rien du tout sous peine d'avoir l'air d'être en partie habillé !

Par contre, si vous avez une pilosité plutôt clairsemée ou des poils clairs, n'hésitez pas à travailler votre apparence en vous épilant les quatre poils qui se promènent sur votre torse ou dans le dos. Ça ne vous prendra pas trop de temps et ça plaira certainement à votre partenaire.

Coquin s'épile les jambes et Coquine adore !!!

 

Comment faire 

 

Avant toute épilation :

- pensez à faire un petit gommage doux sur la zone à épiler histoire de dégager en douceur les petits poils qui seraient en train de pousser sous la peau et éviter de vous blesser.

- avant une épilation à la crème, faites un essai sur le poignet pour prévenir tout risque d'allergie.

- si c'est la première fois, raccourcissez d’abord les poils avec une tondeuse ou des ciseaux. Ca ira plus vite et économisera du produit si vous choisissez la crème ou la cire.

- prévoyez suffisamment de temps et assurez-vous de ne pas être dérangé(e) 

 

Pendant : 

 

- pensez à bien tendre la peau d'une main, surtout si vous choisissez l'épilation à la cire ou à l'épilateur. Ce conseil s'adresse tout particulièrement aux hommes lorsqu'ils s'occupent de leurs testicules.

- pour épiler les zones difficiles d'accès comme l'anus, vous pouvez vous accroupir au-dessus d'un miroir pour vous rassurer les premières fois. Mais avec un peu d'application et de concentration, vous devriez y arriver les yeux fermés.

 

Après l'épilation : 

 

- appliquez une crème calmante pour apaiser la peau

- un peu de jus de citron appliqué (ou une lotion antiseptique) après l'épilation évite l'apparition des boutons

- évitez d'exposer la zone épilée au soleil.

 

Les techniques 

 

L'épilation au rasoir (chez soi) 

 

Le moyen le plus simple et le plus rapide, probablement le plus économique, mais pas forcément le plus efficace. Sectionné à la racine par le passage de la lame, le même poil repousse environ deux jours plus tard à l'identique ! Le poil nouveau risque d'irriter la bouche de votre partenaire.

Un simple rasoir suffit, l'idéal étant de s'en procurer un avec une grille de protection pour minimiser le risque de coupures (prenez quand même le soin de changer la lame le plus souvent possible, justement pour éviter les coupures) ainsi que la mousse qui va avec. Les rasoirs féminins sont généralement pourvus de ces grilles (utilisé habituellement pour les aisselles ou les jambes), mais il existe des rasoirs pour hommes ainsi.

A propos du choix du rasoir, il existe des modèles pour femmes et des modèles pour hommes. C'est purement du marketing ! Regardez dans le rayon du sexe opposé sans complexe et choisissez le modèle qui vous convient. La plupart du temps, seule la forme et la couleur change et le prix est plus élevé pour un modèle féminin.

Surtout, ne vous amusez pas à vous raser "à sec" et pensez à bien lubrifier avec de l'eau et du savon en quantité ou mieux avec une mousse à raser.

La plupart des mousses à raser peuvent être mises en contact avec les muqueuses sans danger, mais vérifiez quand même avant de l'acheter. Avec cette technique, il vous suffit d'appliquer la mousse et de passer plusieurs coups de rasoir et vous serez rasé(e) de très près. Le rasage est une bonne technique, mais elle à quand même quelques inconvénients majeurs : la repousse des poils est rapide et la plupart du temps douloureuse et les poils, comme la barbe, repoussent de plus en plus vite et de plus en plus drus ; il faut donc se raser environ une fois par semaine pour avoir un sexe toujours imberbe.

Le mieux est de pratiquer le rasage sous la douche ou après un bon bain chaud qui permet de préparer la peau et d'assouplir les poils mais ce n'est pas obligatoire.

Pensez à bien nettoyer la lame (désinfectez) après si vous souhaitez la réutiliser et changez-la le plus souvent possible. 

 

La crème dépilatoire (chez soi) 

 

L'avantage de la crème est qu’évidemment, elle n’entraîne aucun risque de coupure. L’inconvénient est qu’elle est souvent bien moins efficace que le rasoir (la plupart du temps, on doit repasser un petit coup de rasoir après). Faites bien attention de choisir une crème qui peut être appliquée sur la zone du maillot et sur les muqueuses. Il suffit d'appliquer la crème sur la zone à épiler, de la laisser agir, puis de la retirer. La crème va en fait dissoudre le poil de façon chimique. La repousse sera douloureuse et vous aurez surtout des démangeaisons. Son efficacité est d’un peu moins d'une semaine.

Attention aux risques d'allergie ! Faites un essai sur le poignet avant de vous aventurer à exposer des zones plus sensibles.

Certaines marques de crème proposent des lots contenant un crème dépilatoire spécial maillot et une crème apaisante. 

 

La pince à épiler (chez soi) 

 

Super efficace car on maitrise l'arrachage, mais terriblement long ! Cette technique peut être utilisée assez facilement pour les bords du maillot, mais pour les lèvres, il vous faudra de l'aide ou pas mal de souplesse !

Un autre avantage est que si ça fait mal, on s'arrête quand on veut.

On privilégiera son utilisation pour les finissions, surtout après la cire ou l'épilateur : les finissions au rasoir ont comme inconvénient de repousser plus vite et donc d'avoir des poils qui repousseront avant les autres.

Pensez à bien la désinfecter avant et après utilisation. 

 

L'épilation à la cire (chez soi ou en institut) 

 

Nous n'utilisons pas cette technique, mais d'après ce que nous avons pu lire ça et là, elle procure sans doute l'un des meilleurs résultats, laissant une peau très soyeuse. Selon les utilisateurs, la cire est certainement la meilleure solution d'épilation. Plus durable (de deux semaines à deux mois suivant la façon dont elle est pratiquée), la repousse n'est pas douloureuse et le poil ne se durcit jamais : les poils sont arrachés à la racine, ceux qui repoussent sont donc vos poils d'origine. Le problème majeur est que les premières épilations sont douloureuses. On applique la cire chaude sur la zone à épiler, on la laisse refroidir et imprégner les poils, puis on l'arrache d'un geste énergique. Après quelques séances, les nerfs sont désensibilisés et c'est donc moins douloureux. Vous pouvez vous faire épiler en institut (pour environ 10 à 15€), ou le faire chez vous. Dans ce cas, vous devez posséder une machine à cire. Dans le commerce, on peut trouver des cires à réchauffer chez soi. Le résultat est bon mais moins durable qu'avec de la vraie cire. Évitez d'acheter des bandes de cire car la partie à épiler est étroite et c'est très difficile avec les bandes.

Autre tendance très prisée, l'épilation orientale pratiquée traditionnellement par les femmes arabes, notamment les Egyptiennes. Il s'agit de recouvrir la partie du corps à traiter avec une solution naturelle à base de caramel, de citron et d'huile de jasmin. Une méthode réputée efficace et garantie sans aucun petit bouton sur la peau.

On trouve des préparations toutes faites en grande surface, mais il est possible de le préparer soi-même.

De plus en plus d'enseignes spécialisées dans ce type d'épilation voient le jour.

Faites les finissions si possible à la pince.

 

L'épilateur électrique (chez soi ou en institut) 

 

De plus en plus performants, on peut les emporter partout avec soi. Certains produits présentent des fonctions intéressantes, tel le gommage ou la possibilité de changer la tête de l'appareil, selon la taille des poils à retirer.

Un épilateur simple fait parfaitement l'affaire, mais privilégiez au minimum un modèle à deux vitesses et choisissez la vitesse la plus faible sinon vous risquez de le regretter ! Le résultat est aussi satisfaisant qu'avec la cire et certainement plus facile à utiliser.

C'est une solution assez douloureuse aussi. Il est difficile de l'utiliser pour l'épilation des lèvres car ça tire la peau, mais en tendant bien la peau l'épilation est supportable sur les bords du maillot.

L'électrolyse, auparavant réservée aux instituts, peut aujourd'hui s'utiliser chez soi, grâce aux appareils disponibles sur le marché. L'outil est un boîtier doté d'électrodes à associer à des patchs disposés sur la zone traitée. Une fois l'intensité réglée, on se branche durant trente secondes, à raison de deux séances par semaine pendant un mois. Inconvénient: il faut se raser entre les séances, l'électrolyse servant simplement à stopper la pousse du poil.

Faites les finissions si possible à la pince. 

 

L'épilation au laser (en institut) 

 

Le laser est encore très peu utilisé sur le pubis (bien qu'utilisé sur le maillot). Cette épilation n'est pas douloureuse et quasi-définitive. On l'utilise pour les zones peu sensibles comme les sourcils car la zone épilée peu mal réagir et vous brûler sérieusement, pour finalement laisser une cicatrice. On peut la pratiquer en institut pour la somme d'environ 300€.

Par Gwenlacoquinette et Doudoucoquin - Publié dans : Stimuler sa vie sexuelle (conseils)
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