Merci à toi Louis pour ce texte.
Ils sont beaux, ils ont fait l’amour, comme en plus ils sont jeunes, ils l’ont fait deux fois. A cet âge on ne se refuse rien. Il est parti dans la salle d’eau, elle entend l’eau couler de la douche, sa main caresse son entre jambes, son sexe grogne encore, il a pourtant eu son repas, elle sent en elle les assauts de son amant, il l’a pris à la papa maman, puis en levrette, elle s’est senti animale, elle a hurlé comme une chatte en chaleur pendant tout le temps de l’assaut. Mais alors pourquoi ne se sent elle pas rassasiée, beaucoup de femmes se seraient assoupies heureuses, contentes, et pourtant elle a envie d’autre chose. Tout à l’heure pendant qu’il la fourrait comme un soudard en maraude, elle s’est mis a penser à autre chose, lui il n’attend que çà, il a acheté les outils, elle sait au fond d’elle-même qu’elle en a envie, elle est timide, et pourtant sa guérison passe par cette prise de pouvoir.
Il est apparu, propre brillant, il est beau, il est surpris de la voir se caresser, un peu inquiet quand même après tout ses efforts. Elle lui fait signe de s’approcher, il s’est étendu sur le lit, et elle s’est approchée de son vit. Tout doucement elle l’a pris en bouche pour réveiller la bête en lui, elle s’est mise à le déguster, le mâchonner, l’avaler le recracher, c’est une mise en bouche ?
En fait elle veut autre chose, elle est en train de se donner du courage, elle sent la main de son compagnon qui caresse son sexe encore rempli de sa semence. Elle prend un bas, elle lui lie les mains, l’autre sert à lui cacher la vue. Il a compris, il a la chair de poule quand elle le retourne sur le ventre.
Dans la table de chevet, elle prend ce qui dort depuis trois semaines, c’est lui qui l’a acheté, depuis elle hésite, il est resté silencieux, il ne veut pas la forcer, et bien ce sera aujourd’hui.
Elle est maladroite, il lui faut du temps pour chausser l’objet, régler les attaches, mais quand elle est harnachée, il n’a pas bougé d’un pouce et pourtant quand elle a posé sa main sur ses fesses, elle sent qu’il tremble. C’est la sensation fraîche du gel lubrifiant qui va le calmer bizarrement, il s’abandonne, c’est elle qui a tous les pouvoirs.
Elle se colle contre lui, abreuve son dos de baiser, sa main flatte sa virilité en émoi. Allez il attend depuis trois semaines et elle depuis beaucoup plus longtemps, elle cherche l’entrée, plaque le phallus contre la porte obscure de son amant soumis, elle pousse.